mercredi 11 novembre 2009

Omega Speedmaster Professional

C'est en 1957 que le premier modèle voit le jour, mais ce fut le modèle de 1961 qui allait avoir rendez-vous avec l'histoire.

Ce fut d'abord le choix personnel de Walter Schirra, astronaute américain d'origine suisse qui permit à la Speedmaster d'être la première montre à être portée dans l'espace lors du programme Mercury (1962).

Devant la nécessité pour la NASA d'avoir un chronographe opérationnel dans les conditions extrême de l'espace, une série de tests ont été effectués sur plusieurs marques et modèles de montres.

Ces tests incluaient l'exposition des montres à des températures extrêmes, différents taux d'humidités, corrosion, chocs, vibrations, sur et sous-pression, accélérations et décélérations.

La Speedmaster fut le seule modèle a être sortie indemne des tests, elle reçu donc tout naturellement la mention « Flight qualified by NASA for all Manned Space Missions » et dès 1964, elle est devenue la montre officielle portée par tous les astronautes de la NASA.

Omega Watches - SPEEDMASTER PROFESSIONAL

Omega - SPEEDMASTER PROFESSIONAL

Elle sera portée en 1969 au poignet de Buzz Aldrin lors de ces premiers pas sur la Lune. Neil Amstrong l'ayant laissé dans le module suite à une panne d'instrument de mesure.

En 1975 la Speedmaster fait également partie du pack officiel de l'Agence Spatiale Russe. Elle fut portée par tous les astronautes présents lors du rendez-vous orbital Apollo-Soyouz en juillet 1975.







De nos jours encore, et malgré les tentatives régulières de beaucoup de manufactures pour obtenir la certification de la NASA, seule la Speedmaster continue à réussir les tests et obtenir son autorisation de vol spatiale.

L'alpiniste Reinhold Messner, le premier à avoir escaladé l'Everest en solitaire et sans oxygène, portait une Speedmaster tout comme lors de sa traversée à ski de l'Antarctique par le Pôle Sud géographique en 1989.

jeudi 5 novembre 2009

Le Titanic à votre poignet



Coulé en 1912, l'épave du RMS Titanic à été localisée en 1985 par une équipe de l'IFREMER.

Depuis, plusieurs expéditions sur l'épave ont eu lieu afin de mieux comprendre les causes du naufrage et accessoirement, remonter des objets et des parties du bateau.

La majorité des objets se trouvent aujourd'hui au Musée Maritime de Greenwich.

Cependant. le manufacturier Genevois RJ Watches, sous l'impulsion de Yvan Arpa, réussi à se procurer du charbon provenant des salles des machines du paquebot ainsi qu'une bande d'acier provenant de la coque.

Ces deux éléments font partie de cette montre.
Le fond du cadran a été saupoudré de charbon et l'acier du boîtier est un mélange d'acier actuel et de celui récupéré sur l'épave.

Cette montre se présente sous 12 variantes pour un nombre de 2012 exemplaires, cela représente l'année du centenaire du naufrage .

Tous les modèles ont trouvé acquéreur et se sont vendus entre 8000$ et 160'000$.

mercredi 18 mars 2009

Personnalisation total du dos de votre montre

Avec cette nouvelle fonction vous pouvez graver au dos de votre montre un message ou une image personnelle téléchargée depuis votre ordinateur.

mardi 24 février 2009

Nouveau boitier disponible.

Mise en ligne d'un nouveau boîtier
signé par le designer JP Edmond.
La collection est construite autour du concept exclusif
de "Lock-ED" de verrou intelligent qui protège la couronne,
renforce son étanchéité et facilite le réglage.

Ce nouveau système est si efficace et facile d'utilisation
qu'il marque une étape dans le développement de la technique horlogère.
Taillées dans un boîtier en acier inoxydable hypoallergenique
avec finition noire ou dorée selon les modèles,
les "Lock-ED" sont protégées par un verre en saphir inrayable.



La collection ED est 100% Swiss Made et dispose de 2 ans de garantie.